• Ah mais je te connais !

» Nom : Scott » Prénom : Raphaël Drew » Age : 20 ans » Statut : Célibataire » Surnom : Raphou » Lieu de naissance et date:New-York ; 17 Juillet 1990 » Origine: Française » Groupe: Poor : we do not want them here.

• Je suis ce que je suis !

» Physique :

Raph’ a un visage assez enfantin, puis ça lui importe peu de s'arranger toute la journée, lui au contraire, ne fait aucun effort pour s'arranger. Il a des yeux marrons clair qui vont un peu avec ses cheveux châtain, ce qui lui donne un air peu commun. Il a de fines lèvres assez rouges. Il a un nez à bout rond et une peau assez claire. Raph’ est assez désordonné en ce qui concerne son apparence, il ne fait rien pour s'habiller comme les autres . Il a un style assez "libertin " . Il préfère dix fois plus les bons vieux uniformes. Raph’ ayant était élevé dans un quartier très classe, le jeune homme s'est, sans trop s'en rendre compte, habitué à leurs habitudes vestimentaires. Il a sa chemise fétiche et sa cravate qu'il ne lâche jamais, malgré qu'il ne sache toujours pas faire de nœud. Il la garde avec le nœud depuis maintenant 4 ans et malheur à celui qui lui défera le nœud. Il détient une chemise, munis d'un pantalon noir. Son visage est assez fin et un peu déformé, du au grand nombre de grimace qu'il fait avec son visage. Il a encore un visage assez enfantin, qui représente bien sa personnalité. Il a les cheveux en bataille, qu'il s'efforce d'aplatir, ce qui les rends mi longs. Raph’ n'est pas très grand de taille, ce qu'il n'aime pas trop chez lui .. Dans l'ensemble, on pourrait dire que Raph’ est encore un grand enfant qui ne va que grandir.

» Caractère :

Vous connaissez Star Wars ? Je suis Anakin Skywalker, tellement obscur mais au fond si pur. La manipulation est le trait le plus visible chez moi, on ne le voit pas tout de suite mais les gens s'en rende compte après que j'ai eu ce que je voulais, que je suis très manipulateur, c'est tellement dur d'y résister. On ne peut pas me résister, si je serais un double il ne pourra pas me résister, comment me résister ? Un beau gosse qui sait vous embrouillez de quelques mots ou quelques mouvements, je suis parfait. Oui, je suis mégalo', et non, je ne me soigne pas, on m'aime comme je suis, ou on m'aime encore plus. J'aime faire preuve d'initiative quand je veux quelque chose, je n'aime pas attendre, je suis impatient, et donc je fais tout par moi-même quand c'est possible et que ça ne tache pas mes belles mains. Surtout qui ne tâche pas, comme draguer une fille, se jouer d'elle jusqu'à obtenir d'elle sa confiance puis la détruire de l'intérieur après avoir tirer son coup. Malgré ça, j'adore avoir 'mes choses' et je n'aime pas les partager, je suis extrêmement possessif et jaloux, on ne touche a rien sinon je n’agis pas avec mon cerveau mais avec mes poings, la violence, je n’aime pas trop ça, mais c'est instinctif, mon côté sauvage qui ressort, on ne touche pas a mes choses, je suis capricieux avec ça, je peux les vouloir comme les rejeter par la suite c'est si bon d'être moi. Mais au fond, je suis un peu vulnérable derrière cette super grosse carapace que j'entretiens pour ne pas céder sur toutes cette pression, il faut savoir être fort si on veut diriger. Les ami(e)s, j'en ai, et j'y tiens un peu plus, je n'aimerais pas qui leur arrive quelque chose, on a vécu tellement de choses ensemble. Au fond je ne cherche qu'une chose, tombait sur une fille qui saura me charmer, prendre mon cœur et révéler le romantisme qui dort en moi. Bien sûr ; comme Anakin ; le bien est en moi à croire. Il a finalement réussi à ressortir avec Elle. La seule personne pour qui j'ai voulu pensé à son plaisir d’abord n’est pas le mien, cette personne qui m'apporta les premiers sentiments amoureux de ma vie. Elle me changea, me rendant plus compréhensif, plus patient mais toujours aussi jaloux et possessif ; voir encore plus. A présent qu'elle n’a plus là ; je ne pense qu'a moi et je ne changerais plus pour qui que ce soit.

• Laissez moi vous racontez ma vie

» Parle moi de ton compte en banque :

En tant que futur héritier - même si je suis déshériter - j'ai une somme colossale d'argent pour dans mon compte que mes parents renflouent sans que je n'ai à leur dire ; je suis leur fils unique et au fond personne ne pourra avoir ma place je serais l'héritier de la firme multinationale d'hôtels de mon cher paternel. En clair je n'ai pas de rapports chaleureux avec mes parents mais peut-être que quand j'aurais de nouveau la tête sur les épaules tout changera. Qui sait.

» Parle moi de ta famille :

Mes parents ne sont pas encore morts ; je suis leur fils unique et donc héritier d'une multinationale d'hôtels partout dans le monde et qui m'appartiendra lorsque mon père aura décidé qu'il sera temps pour moi de faire ce que je dois faire. Mon destin est donc tout tracé et malgré le fait que mes parents n'aiment pas mon comportement trop décontracté qui m'a valu d'avoir un enfant et pleins de drogues. Maintenant je les apprécie que légérement ; mais je ne les aime pas.

» Parle moi de ta vie:

C’est dans la mégalomanie que j’ai grandi ; c’est dans la mégalomanie que je vivrais. Moi, moi & moi ; rien que Moi. Quand vos parents vous montrent que le monde peut-être à vous lorsque vous n’aviez même pas l’âge de comptez deux par deux ; tout cela est tentant. Du haut de l’immeuble New-Yorkais où je vivais en compagnie de ma mère et de mon père. Une famille aux apparences uni(e)s composés d’un seul et unique enfant ; Moi. Raphaël Drew Scott. Lorsque votre père détient le plus grand marché d’hôtels au monde et donc les actions ne cesse d’augmenter à chaque fois vous vous dîtes que vous pouvez faire tellement mieux à vôtre âge. Cette idée s’insurgeait en moi tel un défi de jeunesse et que j’allais surement accomplir dans un futur plus que proche ; il fallait savoir jouer des circonstances et des choses que la vie offrait. Dès mon plus jeune âge j’étais promis à un grand avenir ; celui de reprendre la place de mon paternel sur le trône de son entreprise qu’il avait construit, de son empire. Tout cela serait à moi ; il y avait de quoi baver devant ça. Mais quand on est aussi jeune que moi on ne comprend pas que l’on ne peut avoir de grandes choses sans avoir être quelqu’un de grand auparavant. Être fils d’un multimilliardaire internationalement connu ne faisais pas tout ; enfin presque. J’étais donc promis à un grand avenir et la débauche, la perversité et la mégalomanie de mon petit-être était déjà présente et avide d’être en état de conquérir ; j’avais soif de conquête ! Tout ce qu’avais mon père ; je le voulais et il n’aurait pas le choix lorsque je viendrais demander ce que je voulais ; illusions de gamins. Plus les jours passés plus je voyais la vérité se dessinait peu à peu ; les années passaient tout aussi vite, je n’y pouvais rien contre. Je grandissais et je passais du stade de petit garçon avide de pouvoir à l’ado avide de sexe, d’alcool et de popularité ; le parfait Dom Juan. Le parfait connard surtout ; jouer avec les sentiments ; en faire naître pour sentir la jouissance de les voir détruit ainsi que la personne avec. Peut-être que j’étais cruel ; peut-être pas assez. Je ne les aimais pas ; il n’était pas aussi parfait que moi et ne méritez pas d’être considérez à la hauteur de mon exigence ; les filles je ne voulais que leur corps ; les mecs .. pouvaient juste désirer une chose de moi ; être à ma place. Je jouissais sans retenue de la chance qui m’était offerte et des pouvoirs que j’avais en ma position et ce que ma position pouvait engendrer chez les gens ; je me fichais de la réputation que j’étais en train de me faire mais mon père ne semblait pas voir ça comme cela. Croyait-il que j’allais me plier à ces règles ? Tout cela était dépassé et l’éducation qu’il aurait du m’apporter au lieu de bosser n’était pas là pour jouer en sa faveur. Jouer le connard avec les filles et si simple mais ça ne plaisait pas a mon père. Que devais-je faire alors ? Lui montrer que sa propre femme le tromper avec son soi-disant associé ? Non je savourais de le voir souffrir et j’aimais tenir en chantage ma mère avec ce secret si beau à conserver. Je n’aimais pas mes parents ; je n’aime personne. Mais je suis tombé amoureux d'une fille à mes 15 ans ; qui l'aurait cru. Moi jeune homme qui faisait tombé les filles devant moi et qui pouvait les avoir toutes je tomba sur une qui ravisa mon cœur sans que je ne le comprenne et comme cadeau de remerciement je lui donnais un gosse. Bien sûr je m'en fichais ; les filles la drogue et ma réputation était bien plus importante que tout. La drogue devint un fléau après que Katja disparu de ma vie, avec notre fille, bien sur je ne le savais pas, on aurait pu dire que ce fut le tournant de ma vie et le seule amour de ma vie ; elle était tout ce dont j'avais eu besoin mais j'avais bien été sot pour le remarquer. Après avoir tout perdu on se rend compte des choses qui valaient vraiment et j'ai remarqué que la drogue me défonçait plus qu'autre chose. Maintenant le temps passe et les regrets de sont de plus en plus alors que mes études continuent. À part moi bien sûr. 19 ans ce n’est pas assez ; il a fallu que j’attende d’avoir 20 ans pour jouir d’avoir l’attention de mon père pour du travail ; je voulais son empire et jouer la comédie pour avoir ce qu’on veut c’est primordial quand on est aussi ambitieux que moi. Je voulais la couronne ; je voulais être le roi, l’empereur et avoir tout ce qu’il avait pour l’améliorer ; en mieux. L’amour ? Je n’en avais pas besoin à quoi ça me servirait ? En tout cas c’était peut-être par amour que mon père me donnait une sorte de mission pour lui prouver que j’étais bel et bien son fils, son sang et que je pouvais diriger l’empire à moi tout seul. Je me rappelle que ce jour-là j’avais soupçonné ma pute de mère d’avoir voulu m’évincer de New-York. Il avait fallu que je grandisse et que je soigne mon caractère en sa présence pour rentrer dans les ordres et m’immiscer parmi les plus grands avec un jeu de comédien quasi-parfait. Mais je ne m’attendais pas à cette mission à a peine 20 ans. Une mission n'était pas le bon terme ; une chance de me rattraper plutôt.

Maintenant déshériter je devais retourner dans les faveurs de mon père en retrouvant celle avec qui j'avais eu un enfant et la reconquérir ; on me renvoyait à Lincoln. Mon père me connaissait plus que je ne le pensais et savait les regrets qui m'habitaient. Peut-être voulait-il que je change en bon et me donnait une occasion de régler le problème ? Au fond je l'en remerciais et j'y allais sans rechigner ; une première. Mais le temps laisse présager trop de choses et reconquérir un passé qui n'était pas à mon bonheur était dur, mais je ferais tout pour retrouver ma Katja & ma fille. Personne ne se mettra en travers de mon chemin ; personne.

• Et pour finir ... toi.

» Avatar, célébrité : Sean Farris
» Pseudo, ou surnom : Zid
» Age : 18 ans
» Sexe : Garçon [ X ]
» Que pensez vous du design ? : J'aime
» Comment avez vous connu le forum ? Katja (a):
» Présence sur le Forum :


[ X ] ACTIF (minimum 4 connexions par semaine)


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